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Culture du droit à (d’acceptation de) l’erreur : c’est quoi et c’est pour quoi ?

Remontons dans le temps : « Errare humanum est, sed perseverare diabolicum ! »

Nos anciens l’avaient compris : la perfection n’existe pas chez l’humain ; toute personne, humanum, est par nature susceptible de commettre une erreur, errare, voire plusieurs… Mais attention, cette dernière devient faute lorsque l’on persiste, perseverare, dans l’erreur car l’on devient alors conscient de faire faux, diabolicum. L’erreur repose assurément sur l’ignorance, le fait de ne pas savoir, ce qui rend son acceptation pure logique humaine.

Ce droit à l’erreur a ainsi toute sa place dans nos organisations professionnelles puisque nous, les humains, y sommes passons une partie de notre vie. Ce droit mérite pleinement d’être intégré dans toute culture d’entreprise ; il constitue une réelle source d’apprentissage au service de l’évolution des connaissances, des compétences et des prises de responsabilité.

Encourager l’acceptation de l’erreur, c’est permettre d’apprendre mieux et plus vite. Pour autant, faut-il encore adjoindre à ce droit le levier d’apprentissage qu’est le feedback, outil de communication incontournable !

Anticiper les conséquences d’une faute, répétition d’une même erreur, c’est responsabiliser.

Et vous, comment considérez-vous l’erreur ?